«Quand une étoile se dégrade, elle émet dans le
désordre, avec par moments des silences et à
d'autres de très violentes émissions d'énergie.
On y est. Après la musique sans son, après les
soliloques incertains et les préludes indécis, une
énorme bouffée d'harmonies et de rythmes jaillit.
Victor Hugo chante ces soubresauts d'étoile comme
"la clameur du mourant éperdu", un vacarme qui
serait "brusque, éclatant, splendide, inattendu". En
ce moment, Odette est cette étoile-là, somptueuse,
incandescente, imprévisible.»