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La porte de l’appartement de Colette Aubert était fermée de l’intérieur et la clé se trouvait dans la serrure. Les quatre robinets du gaz étaient ouverts. Suicide ? Règlement de comptes ? En tout cas, le crime était bien camouflé. Quelques détails permettaient de déclarer avec certitude que Colette Aubert était une espionne : une bouteille de whisky, du coton hydrophile, des bâtonnets à ongles et des cachets de pyramidon Pour les services du contre-espionnage, c’était suffisant. En plus, il y avait sa profession : elle était interprète au Secrétariat international de l’OTAN. Derrière elle, toute une bande d’espions s’était incrustée dans les services de l’OTAN. Ces espions avaient trouvé un moyen qui n’était pas ordinaire de correspondre entre eux au nez et à la barbe de tout le monde. Pour les combattre, il a fallu, une fois de plus, mobiliser la fameuse équipe franco-belge : Brébard, de la D.S.T., et Merger et Matagne, de la sûreté d’Etat belge.