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Gerard van Westerloo maakte vanaf de jaren zeventig spraakmakende reportages voor het weekblad Vrij Nederland, waaronder ‘De vlucht in de stacaravan’, ‘De bestuurders van lijn 16’ en ‘De pont van kwart over zeven’. In die stukken vertellen gewone mensen over hun werk en hun leven, en ze verwoorden luid en duidelijk het maatschappelijk onbehagen dat pas veel later, in de tijd van Pim Fortuyn, tot de politiek zou doordringen. Van Westerloo introduceerde in Nederland de journalistiek van het gewone, het alledaagse. Zijn stukken, veelal geschreven met coauteur Elma Verhey, geven een geweldig tijdsbeeld en laten zien hoe de politiek steeds verder wegdreef van de gewone Nederlander.
De pont van kwart over zeven is een feest van herkenning voor de oudere lezer, en voor de jonge lezer is het een kennismaking met de stijl van Van Westerloo, de ‘grondlegger van de naoorlogse literaire journalistiek’, aldus Geert Mak.