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Ce printemps, la revue espace art actuel s’intéresse à la dictature. Celle de nature politique, en opposition à la démocratie, mais aussi celle qui s’incarne dans les sociétés néolibérales. « Devant ces diktats du marché auxquels nous consentons, souvent aveuglément, certains discours critiques que promeuvent les artistes se révèlent éclairants. » (André-Louis Paré) Diogo Rodrigues de Barros analyse certaines interventions de l’artiste chilienne Voluspa Jarpa, alors que Juliette Soulez se penche sur l’opposition de certains artistes et commissaires de l’Europe de l’Est à la volonté des autorités politiques de museler les institutions culturelles. Puis, Cristina Moraru analyse diverses propositions artistiques qu’elle considère être des zones non consensuelles. Umut Ungan analyse aussi cette tension entre art et politique en s’appuyant surtout sur l’esthétique conflictuelle d’Oliver Marchart. Ariane Daoust et Aline Ginda signent, elles, un texte sur la dictature de la croissance. Ce numéro inaugure aussi une nouvelle rubrique, Débat, qui a pour but d’offrir des réflexions sur l’expression artistique susceptibles d’engendrer des points de vue contraires.