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Berlin 1946, capitale de la débauche... Dans l’inquiétante Mulackstrasse, en zone soviétique, ou sur l’avenue occidentale du Kurfürstendamm incendié de néon, rôdent des milliers de “respectueuses”, venues de tous les coins d’Europe et que, souvent, rien ne prédestinait à cette existence dégradante. Chassées de leur propre pays, traquées par les polices militaires alliées, les Schupos et la Volkspolizei, ces Russes, ces Polonaises, ces Croates, ces Françaises, ces Serbes, ne sont plus maintenant que des “femmes à soldats”. D’un style brutal et souvent audacieux, l’auteur conte les aventures tantôt héroïques — tels les combats acharnés des Kanalarki, dans les égouts de Varsovie — tantôt sordides, mais toujours bouleversantes, qui ont conduit ces “bêtes à plaisir” parmi les ruines et les décombres de cette Tour de Babel de la prostitution. Après le grand succès de “Commandos de femmes”, qui sera d’ailleurs prochainement traduit en allemand, Georges Roques nous donne, avec ce nouveau roman, une de ses œuvres les plus féroces, où les scènes de guerre, de carnage et d’orgie atteignent un réalisme hallucinant.