Je m'efforce toujours d'être en contact aussi étroit que
possible avec la vie. De travailler avec mes mains, de
connaître les autres gens, et non pas les gens de cerveau,
mais les gens vraiment humains. C'est pourquoi je suis
si souvent au garage. Là, je vis comme les autres, je
suis un apprenti, on me donne des pourboires (que je
donne d'ailleurs aux autres) et j'entends comment parlent
et vivent ces gens et combien ils sont plus proches de
la vie que les intellectuels et les faux artistes...
Jean-Paul de Dadelsen