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Un homme qui aime les femmes, qui n’aime que les femmes parle librement de sa vie dans la pénombre d’un cabinet de consultation. Il s’est marié, il a écrit un livre, il a eu un métier... Mais rien ne semble l’avoir satisfait. Avec humour, avec fatigue, il évoque les femmes qu’il a connues, les expériences qu’il a faites, et malgré son cynisme, on peut entendre au fond de sa confession comme la plainte d’un enfant perdu. Son monologue est-il l’acte d’un être meurtri qui espère trouver dans la psychanalyse une solution à ses problèmes ? Le lecteur est en droit de le penser jusqu’aux dernières pages de ce récit. Mais le besoin d’aveu, le goût de s’expliquer, l’exigence de vérité peuvent emprunter bien des masques, et c’est seulement à la fin que nous saurons pourquoi cet homme parle et à quelle blessure cachée se nourrissent son ironie et son malaise. De Jean-Claude Brisville dont Albert Camus écrivait au moment de la représentation de sa pièce Saint-Just : « un de nos rares écrivains sachant écrire », on connaissait déjà deux récits, Prologue et D’un amour et un essai La Présence réelle. Avec La fuite au Danemark, récit qui mise sur la voix et s’oppose ainsi franchement à l’esthétique du nouveau roman, il renouvelle son registre et amorce peut-être une réaction littéraire.