« Argice ignorait le bien et le mal, le nu et le sacré, le vide et le morbide.
Argice engageait l'être vers cette ironie qu'on appelle Dieu, fatale pensée d'un monde en devenir, a l'agonie, en devenir... »
Ah ouais ! D'accord. Je comprends rien. Remarque, si ça se trouve, c'est paît exprès. Le gars, il a voulu faire le livre le plus nul du monde.
Et il a réussi.