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Au Pensionnat de Sainte-Olympe lorsque les lumières s’éteignent, brille le soleil des dortoirs ; il illumine les adolescents séparés de ce qu’ils aiment, anxieux de vivre, tourmentés par la chair et l’esprit ; il suscite d’instables univers où se contrarient ou se confondent l’érotisme, la tendresse, la nostalgie de l’enfance et l’espoir d’en sortir. Cécial, l’enfant des Rues de Levallois a quitté son faubourg pour les mystères de Sainte-Olympe. Il grandit dans la curiosité, l’ironie, la sensualité, l’inconscience. Il découvre presque en même temps l’amour fou, le Don Juanisme statistique, les jeux les plus suspects, la méchanceté des hommes, la poésie, le canular. Il prend les garçons pour des filles et les filles pour des anges. Il dérobe le caviar du Directeur, invente Polycarpe, Cambrouille et le jeune Parmidon ; après avoir été chassé de Sainte-Olympe, il souffre à l’hôpital Beaujon. À l’aube de ses dix-sept ans, il rencontre une Vénus sans équivoque. Désormais le Soleil des Dortoirs baignera d’autres solitudes. Éducation sentimentale d’un garçon dont les défauts promettent presque autant que les qualités ? Évocation de ces plaisirs que jadis célébra l’auteur de « Charlot s’amuse » ? Peinture d’un petit monde très particulier où la pureté, le cynisme, l’amitié, la violence et l’amour le plus ambigu font bon ménage ? Le Soleil des Dortoirs est tout cela mais surtout le roman d’une adolescence hors série que déchirent les passions, les contradictions, les velléités de toute adolescence. Le Soleil des Dortoirs est écrit dans une langue d’une richesse et d’une poésie singulière. On y retrouve la richesse verbale, le sens du pittoresque, l’humour, la tendresse des Rues de Levallois et surtout cet amour inquiet des êtres et cette curiosité sans illusion qui donnent à tous les livres de Rabiniaux — satirique ou poète, mémorialiste ou romancier — depuis le truculent Pédonzigue, leur force persuasive et leur unité.