Le Chino des Enfances Chino (P.O.L, 2013) a monté la
pente d'enfance. Puis a dévalé l'autre versant, d'adolescence
à sénescence, vers les passions grandes
et petites. De quoi faire un roman. Mais bousculé
du chrono car feuilletté en vrac dans la mémoire
des corps, des paroles, des sites, des instants. Et
embrouillé par l'afflux des émotions sensuelles.
Pour fixer et cadrer : une forme (le vers, sévèrement
compté, ostensiblement rimé - et le train obstiné des
quatrains).