Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Édouard Bourgoin crut que son cœur allait exploser : la fille accoudée au bar venait de prendre son verre et se dirigeait vers sa table, en imprimant à ses hanches un balancement que sa combinaison de cuir rendait encore plus affolant. Il posa sa main potelée et trop blanche sur celle, fine et nerveuse, de l'inconnue, qui répondit à son geste par un sourire carnassier. – Justine… Je m'appelle Justine, fit-elle d'une voix rauque. Peut-être pourrions-nous continuer cette conversation chez vous ? Trois minutes plus tard, ils quittaient ensemble le bar. Sur le pas de la porte, Justine désigna une grosse moto : – C'est à moi, cet engin. Vous prenez votre voiture et je vous suis ? Édouard opina machinalement et s'installa au volant de sa vieille R 19. Dix fois, vingt fois, pendant le court trajet qu'ils firent pour arriver jusque chez lui, il vérifia que la moto le suivait toujours, comme s'il craignait que son rêve n'explose. Évidemment, il ne pouvait pas savoir que, pour rien au monde, Justine ne l'aurait laissé s'échapper.