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Un avion essaie d’atterrir à Hong Kong, mais un écran de nuages annonciateur de typhon — ou bien est-ce un grave incident mécanique ? — interdit au pilote de relier le ciel à la terre. L’angoisse de la mort en sursis, tour à tour cauchemar et volupté, va durer le temps de ce récit. L’un des passagers, reporter aux expériences nombreuses, essaie de donner in extremis un sens à une existence sur laquelle il craint de ne pas s’être suffisamment interrogé. Le bourdonnement de l’avion en détresse ajoute des franges sonores au délire. Quand on meurt, on ne perd pas seulement sa vie ; mais, du même coup, toutes les vies que l’on n’a pas vécues, que l’on voudrait avoir vécues et que, peut-être, si quelques instants de grâce vous étaient accordés… François Chalais en profite pour faire tourner, dans une sorte de chaos lyrique, un globe terrestre aux couleurs de soleil, d’orage, de tendresse et de sang : Berlin au lendemain de sa chute, la Palestine à la veille d’Israël, Saïgon au carrefour de la tragédie et de l’absurde, Rome le temps d’une amitié, et ces mille visages de l’amour qui sont la consolation de ceux qui n’ont jamais eu la chance de donner un seul visage à l’Amour.