
Une histoire française
Quand on est pauvre, c'est pour la vie. Je ressemble à mes parents. Je ne prends jamais le taxi, sauf à l 'étranger, quand la course coûte quinze centimes. J'achète mes jeans en friperie, je me contente de trois paires de chaussures. Je suis attaché à ma culture de pauvre. J'aime les gens modestes, les miens. Eux passeront toujours avant les autres.
N.D.
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