Si j'avais un perroquet je l'appellerais Jean-Guy (parce que Coco c'est déjà pris)
Au chapitre 2 de la deuxième partie du deuxième livre de Françoise Sagan quelle a emprunté à la bibliothèque, Catherine tombe sur un bout de papier. Dessus, un prénom - Jean-Philippe -, un numéro de téléphone et un message clair : « Appelle quand tu veux ! » Catherine, célibataire et traumatisée depuis deux ans (son ex a couché avec sa soeur...), envisage toutes les hypothèses, entend les préventions légitimes de ses amies et, sachant bien qu'a priori personne ne répond à un message trouvé par hasard dans un livre de bibliothèque, décide malgré tout de contacter Jean-Philippe. Si insensé, absurde, impensable, inconcevable et improbable que puisse paraître un tel geste. Car qui ne tente rien...