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Cuando el director húngaro Michael Curtiz dirigía a David Niven en La carga de la brigada ligera, su precario dominio de la lengua inglesa le hizo pedir æTraigan los caballos vacíosÆ al referirse a æcaballos sin jineteÆ. David Niven aprovecha la anécdota para titular así sus recuerdos de Hollywood desde 1935, año en el que llegó a Los Ángeles en calidad de extra, hasta el final de la década de los cincuenta, en la que había establecido su reputación de actor de renombre universal. En consecuencia, sus recuerdos cubren el período en que la meca del cine fue, precisamente, un abigarrado, insólito y caótico escenario por el que pasaron, se quedaron, o desaparecieron los más dispares personajes: actrices. actores, directores, escritores, productores... En estos años, Niven conoció, trató y fue amigo de la mayor parte de los æmonstruos sagradosÆ que alumbró el mítico Hollywood ûClark Gable, Greta Garbo, Humphrey Bogart, Rita Hayworth, por citar algunosû y nos habla de ellos, de sus vidas contempladas muy de cerca, con gran destreza narrativa y ese fino y tradicional sentido del humor tan característico de los bu