Dans une petite ville de la Baltique bercée par le rythme
incessant des vagues, Christian assiste à la minute de silence
observée dans son lycée en mémoire de Stella Petersen,
professeur d'anglais morte en mer. Stella fut le grand amour
de Christian, un amour volé aux conventions qui régissent
les relations entre professeurs et élèves, un amour
fait de silences et d'interrogations, de découvertes fragiles
et de beauté.
Dans une prose lumineuse, toute de tendresse et de retenue,
Siegfried Lenz nous offre un roman intimiste, presque onirique,
sur l'éblouissement d'un premier amour et sur la douleur
de l'inachèvement.