Je remonte le ravin sans demander mon reste, le marcheur fatigué que je suis aspire au repos. Arrive l'impensable, un tapotement à l'épaule, une voix chuchotée, tu dois connaître les parulines.
Je me retourne vers un vieil homme au visage juvénile, ou était-ce un jeune homme portant les rides de l'infini ? La beauté n'existe que rencontrée.