
À nos banquises
« Quand nous étions seule, pour combler le vide des journées, nous dessinions et peignions. (...) Nous devenions renoncules et sous-bois, et le trait du pinceau, et la matière et l'épaisseur. C'est là que nous avons commencé à dire nous à la place de je ».
Grand-mère drolatique et émouvante, la narratrice se vit au pluriel, dans une histoire d'écologie, de lignée féminine et d'euthanasie. Une méditation sur les frontières poreuses entre la vie et la mort, entre les âges et entre les êtres au sein de la nature.
Son nous entre dans le XXIe siècle en se joignant aux luttes contemporaines.
Nous publions uniquement les avis qui respectent les conditions requises. Consultez nos conditions pour les avis.