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Bargfelder Bote Sonderlieferung: Arno Schmidts hier behandelte Frühwerke erschienen erst 10 Jahre nach seinem Tod. Seine Leser waren enttäuscht von den vermeintlich spätromantischen Fantasiestücken. Die hatte er ausschließlich für seine Frau Alice geschrieben, um sie für sich, für seine Welt, und das hieß eben auch: für ein Leben am Rande der Gesellschaft zu gewinnen. Das war nicht leicht zu ertragen für sie, auch nicht leicht in gewinnender Weise zu beschreiben für ihn (den ersten Versuch, "Die Insel", brach er ab). Wir können ihm, von diesem Cicerone geleitet, mit wachsendem Vergnügen folgen bis zum Abbruch des letzten Versuchs: "Mein Onkel Nikolaus". Als Realschüler hielt Arno Schmidt Vorträge im Unterricht, die nicht verlangt, sondern erste Ergebnisse seiner jugendlich-wissenschaftlichen Erkundungen der Geisteswelt waren. Er schrieb auch Gedichte, die übergab er nur seinem Freund Heinz Jerofsky. Als Lehrling versuchte er, zwei bekannte Schriftsteller für seine Gedichte zu interessieren: Hermann Hesse und Hermann Stehr. Beide antworteten ihm routiniert. Der junge Werner Murawski, den er bald kennenlernte, trat so etwas wie eine Nachfolge von Heinz Jerofsky an, der aus der Gegend fortgezogen war. Und – Werner hatte eine größere Schwester: Alice.