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« Croyez-vous que c’est brillant, un être en train d’écrire ? Avez-vous vu le maître Daradada à sa table de travail, sur son dernier roman ? » (Louis-Ferdinand Céline). Pierre-Robert Leclercq, lui aussi romancier, s’est regardé dans un miroir : il y a vu Daradada en train d’écrire... On lui a dit alors : « Le roman est mort ». Ça lui a fait un choc. Le romancier, lui, se sent bien vivant. Il a soudain éprouvé le besoin de dire ce qu’est un romancier aux prises avec sa plume, les mots, le fisc, les critiques, l’éditeur, les lecteurs, les prix littéraires, et bien d’autres choses encore... Sincèrement, c’est-à-dire sans ménagement. F.C.