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Studienarbeit aus dem Jahr 2002 im Fachbereich VWL - Sonstiges, Note: 2,3, Philipps-Universität Marburg (Finanzwissenschaft), Veranstaltung: Seminar: Wirtschaftswissenschaftliche Politikberatung, Sprache: Deutsch, Abstract: In der Vergangenheit gab es eine enge Zusammenarbeit zwischen Politik und Wissenschaft. So war die Ökonomie maßgeblich an der Gestaltung der Sozialen Marktwirtschaft beteiligt. In den 50ger und 60ger Jahren entstand der größte Teil der Literatur über Politikberatung, jedoch stagnierte die wissenschaftliche Innovation bzgl. der Beratungsliteratur. Sichtbar wird dies daran, dass die Wiedervereinigung in Deutschland nur unter geringem Einfluss ökonomischer Politikberatung vollzogen wurde. Fest steht, dass zahlreiche Beratungsvorschläge existieren, deren Umsetzung von Seiten der Politik nur bedingt erfolgt. Ursachen können zum einen in inhaltlichen Mängeln vorhandener Theorien, d.h. falsche Annahmen, zum anderen im Verhältnis zwischen Wissenschaft und Politik und letztlich kann es in der Organisation politischer Beratung begründet sein. Ob diese Mängel tatsächlich bestehen und es sich um eine Krise der Politikberatung handelt, soll anhand theoretischer Ansätze zur Politikberatung untersucht werden. Dabei sollen zunächst die Kommunikationsprozesse kritisch beleuchtet werden, um anschließend auf die traditionelle Theorie der Politikberatung einzugehen. Darauf folgend ist die Public-Choice-Theorie Untersuchungsgegenstand, die in den 70ger Jahren in die Neue Politische Ökonomie (NPÖ) integriert wurde. Im Anschluss sollen die Erkenntnisse der Konstitutionenökonomik erläutert werden. Abschließend sollen durch einen Vergleich von privater Beratungstätigkeit und ökonomischer Politikberatung alternative Vorgehensweisen beleuchtet werden.