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There is a certain malady of the mind induced by too much of one thing. Just as the body fed too long upon meat becomes a prey to that horrid disease called scurvy, so the mind fed too long upon monotony succumbs to the insidious mental ailment which the West calls "cabin fever." True, it parades under different names, according to circumstances and caste. You may be afflicted in a palace and call it ennui, and it may drive you to commit peccadillos and indiscretions of various sorts. You may be attacked in a middle-class apartment house, and call it various names, and it may drive you to cafe life and affinities and alimony. You may have it wherever you are shunted into a backwater of life, and lose the sense of being borne along in the full current of progress. Be sure that it will make you abnormally sensitive to little things; irritable where once you were amiable; glum where once you went whistling about your work and your play. It is the crystallizer of character, the acid test of friendship, the final seal set upon enmity. It will betray your little, hidden weaknesses, cut and polish your undiscovered virtues, reveal you in all your glory or your vileness to your companions in exile-if so be you have any.