Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Il existe d’importantes connexions entre l’assujettissement des femmes et la volonté de maîtriser le monde vivant. De nombreux philosophes en ont fait la démonstration. Pour la Française Françoise d’Eaubonne (1920-2005), à qui on doit le néologisme « écoféminisme », l’accaparement immémorial de la fertilité des sols et de la fécondité des femmes ne sont pas une conséquence du système patriarcal : ils en constituent la racine. Dès lors, il ne s’agit plus de « changer le monde », mais d’imposer un grand renversement, afin que demain « il puisse y avoir encore un monde ». Josephine Donovan montre ici quels sont les prolongements de cette conception détonante. Elle explicite en particulier ses retombées en ce qui concerne notre relation aux animaux. Dans le sillage de l’École de Francfort (Theodor W. Adorno et Max Horkheimer), mais aussi d’Edmund Husserl, elle explique en quel sens cette nouvelle approche dépasse en radicalité celle des partisans de la libération animale. L’éthique écoféministe qu’elle appelle de ses vœux pourrait modifier en profondeur l’idée que nous nous faisons de notre humanité – allant même parfois jusqu’à désarçonner la raison.