Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
C’est ainsi que Michel Ohl parle de ce livre : “Ci-git Chez le libraire en son menu cercueil petit bébé-recueil ! Mon semblable ! Mon Frère !” C’est ainsi que Georges Walter, un de ses fanatiques, parle de lui : “Michel Ohl vit dans les Landes où il naquit il y a trente ans déjà. J’hésite toujours à parler de lui. Crainte que son humour fusille à l’avance toute admiration, crainte d’attenter à la dignité rare de l’écrivain le moins lu de France et de Bigorre. Les journaux l’appelleraient un “least-seller” (pendant honorable de “best-seller”). Tous les automnes, quand paraît le cent habituel des auteurs facultatifs, le seul nom de Michel Ohl déclenche un rire salubre. Tant de renommée qui l’épargne, accroît le beau silence où court sa plume de non-lu.” Et à Claude Nougaro le mot de la fin : “Michel Ohl, un habité du verbe. Un Saint du langage.”