Dans Corps Lumière, suite de Poèmes bleus et regard déjà pris dans La tombe d'épines, Siham Bouhlal relate une passion dans la solitude et puis une révolte du coeur, comme lorsqu'on claque la porte d'une demeure hostile, dans un mouvement irréversible vers une lumière jaillissante qui traverse la nudité d'un coeur, d'un corps.