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Die in den fünfziger Jahren von Arno Schmidt beklagte 'Brotarbeit' des Übersetzens schlug in seinen letzten Jahren um in eine Diätetik des Schreibens, welche den Übersetzungsarbeiten feste Plätze zwischen den Arbeiten an eigenen Werken einräumte. In den fünfziger Jahren gab es nur wenige 'Überschläge' aus den von ihm übersetzten Büchern ins eigene Werk: es sind einzelne Berührungspunkte, keine Fäden, die einzuweben gewesen wären. Mit "My Brother's Keeper" trat eine Wendung ein, denn das Buch fordert ihn nicht nur als Übersetzer (explizit von Stanislaus, implizit, in vielen Zitaten, auch von James Joyce), sondern auch als Prosa-Fachmann und schließlich als Autor eigener Werke. Da Schmidt später auch dessen "Dublin Diary" übersetzte und dieses zugleich die wichtigste Quelle zu jenem Werk ist, erstreckt sich Untersuchung auf diese beiden von Schmidt übersetzten Bücher. Speziell für diese Studie gibt es einen Maßstab - die Übersetzungskritik, die Arno Schmidt an anderen übte, insbesondere von derjenigen an Georg Goyerts Übersetzung der Werke von James Joyce bis vor "Finnegans Wake", welche mit heran gezogen wird. Stanislaus Joyce schrieb über und gegen seinen Bruder an, er schätzte dessen frühe Werke hoch, "Ulysses" gering, und "Finnegans Wake" lehnte er rundheraus ab. Schmidt ging es genau umgekehrt. Er entnahm gleichwohl den beiden Büchern seinen 'Höllenschlüssel' zur biografischen Deutung von "Finnegans Wake" und nahm so im Zuge seiner Arbeit - und das durchaus mit eigenem Kopf - eine Position des 'Dritten im Bunde' der Gebrüder Joyce ein.