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Christoph Maria Merki untersucht in seiner Studie die Anfänge des motorisierten Straßenverkehrs in Frankreich, Deutschland und der Schweiz bis zum Jahre 1930. Die Verbreitung des Automobils wird meist mit der Erfindung einer "selbstfahrenden" Maschine erklärt, die ihre Vorläufer Kutsche, Fuhrwerk und Fahrrad betriebswirtschaftlich hinter sich gelassen hat. Diese Erklärung greift nach Merkis Untersuchungen zu kurz. In Gang gesetzt wurde die Motorisierung durch die Statusbedürfnisse der vergnügungssüchtigen Oberschicht der Metropole Paris. Sie begeisterte sich um 1900 für Autorennen und das Idol des chevaleresken "Herrenfahrers". Das Auto stieß anfänglich auf großen gesellschaftlichen Widerstand, weil es die allen offenstehende Straße zu einer bloßen Fahrbahn entwertete. Als der sportlich-männliche Charakter des PKWs in den Hintergrund trat, flaute der Widerstand ab. Dazu trug auch die Politik bei. Sie machte die Kraftfahrer für jene Kosten haftbar, die diese der Allgemeinheit aufbürdeten (Straßenbau, Unfallgefahr). Im Gegensatz zum Pkw hatten Nutzfahrzeuge wie LKW und Omnibus von Anfang an freie Fahrt. Weniger angefeindet wurde auch das Motorrad, das sich vor allem in Deutschland zu einem wichtigen Vorreiter der Motorisierung entwickelte.
Merkis Studie stützt sich auf zahlreiche, bislang meist unbekannte Dokumente aus mehreren Dutzend Archiven und Bibliotheken.