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Drei Geschichten von James Oliver Curwood, erschienen in den Jahren 1912, 1915 und 1920 Der Spassmacher (1912): Man kann zu viel lachen. Man kann zu fröhlich sein. Man kann zu sehr auf die Sonnenseite des Lebens blicken. Sie mögen dies nicht glauben, und genauso erging es Bobby McTabb; doch bei McTabb hat es sich bewahrheitet. Es bedurfte des Mädchens, um ihm zu helfen - Kitty Duchene war ihr Name - groß gewachsen und süß anzusehen, mit diesen klaren blauen Augen, dunkel, mit der Schönheit von Veilchen, die so gut zu ihrem Haar passen, das im Schatten braun und in der Sonne golden ist. Gemeinsam haben sie er herausgefunden - ganz plötzlich. Es ist ihre Geschichte, doch niemand wird sie glauben; aber es ist die Wahrheit. Thomas Jefferson Brown (1915): Ein sympathischer, gut gebauter Mann von guter Abstammung, mit einem großen Herzen und ein schwerer Fall von 'Wanderlust'. Mit seiner Fähigkeit, sieben Instrumente ohne Instrument zu spielen, die Herzen der Kinder im Handumdrehen zu erobern und die Arbeit von drei Männern zu erledigen, war er ein durch und durch sympathischer Kerl. Er blieb nur nicht gerne lange an einem Ort oder in einem Job, und er gab seine blaublütige Herkunft nie preis - nie, bis er Isobel traf. Irgendetwas an ihr brachte den Mann und Helden in ihm auf eine Art und Weise zum Vorschein, wie er es nie zuvor getan hatte, und als Untergang und Tod sein sicheres Los zu sein schien, griff das Schicksal ein und reichte ihm eine helfende Hand. Die Maus (1920): Ein Abenteuer in der Wildnis im hohen Norden Kanadas. Ein frecher Winzling wird zum Freund - und noch viel mehr.