Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Die "groteske Erzählung" der Ricarda Huch stellt sich dem Leser zunächst zwischen den Großinquisitor Dostojewskis und Gerhart Hauptmanns Emanuel Quint. Aber sie ist im Grunde mit beiden nicht zu vergleichen. Gerhart Hauptmann erfaßt das Problem des Religiösen und sein Schicksal, wenn Gott im Leibe eines geistig armen Menschen, des Narren in Christo, sich offenbart. Die Spannungen zwischen den heterogenen Mächten der Gotteskindschaft und der irdischen Welt werden von ihm aus der Seele und Persönlichkeit des Narren entwickelt. Sein Sein und seine Wirkung in dem Zwiespalt zwischen Gotthaftigkeit und weltlicher Armseligkeit, und damit das Problem der Erscheinung des Göttlichen als des dem Irdischen gegenüber absolut Anderen, das ist das Problem des Buches. Auch bei Ricarda Huch - wie bei Dostojewski - spielt die Kirche und die Inquisition eine Rolle, und wie Hauptmann stellt sie einen Menschen mit mystisch-religiösen Kräften, eine Christusgestalt, in die Wirklichkeit des Tages hinein. Aber was sie an der Folie dieser Gestalt zeigen will, ist die Gräßlichkeit der Zivilisation. Hier liegt der ganze Nachdruck des Buches. Und hier auch seine Kraft und Wahrheit und seine ganze Ironie.