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Établie dans une Camargue où même les reflets s’identifient à la réalité d’un mythe, la tribu Di Scotto — marchands de raviolis exilés de Marseille — offre l’échantillonnage cocasse de bourgeois trop récents pour savoir jouir du bon farniente. Qu’il s’agisse de Tata la riche, encombrée de sa valise de faux marbre, ou de l’oncle Albert, son mari, l’inventeur mort d’une insolation en chapeau castillan, qu’il s’agisse d’Anna la bonne qu’aucun douanier perdu ne voudrait épouser, tous gravitent, en fin de compte, autour de Mme Di Scotto, l’extravagante Pompon, qui s’entête à confondre le rêve et d’inaccessibles flamants, qui entraîne ses enfants à la chasse aux moustiques « que l’on retrouve aussi en Suède, dit-elle, mais à la condition que l’on connaisse les endroits ». Seul le père, Casimir, plus effacé, file en cachette l’amour parfait à Marseille. Une certaine habileté, inavouée, de mal supporter les autres mais de croire à un reste de bonheur, une chance qu’apporte le soleil d’effacer la gravité des ombres, l’acharnement de mères assermentées à absoudre leurs fils en faute : tout cela s’appelle la famille. Mais lorsque le drame survient, la mort de Casimir et la découverte d’une seconde veuve, la tribu Di Scotto s’éveille. Il reste au rose des flamants le pouvoir de devenir plus rose à mesure que le couchant emporte, dans une calèche que tire le cheval Brillantine, Pompon avec ses illusions.