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¡Despidan a esos desgraciados! es una diatriba por entregas que corresponde a los números 12 a 14 del fanzine newspaper (1962), en los que se repasaba ferozmente cada una de las reseñas que suscitó en la prensa la aparición en 1955 de la primera novela de William Gaddis: Los reconocimientos. Uno a uno, Green examina las manifestaciones de aquellos reseñistas que, a su juicio, obviaron la lectura del libro del que hablaban; desgrana una teoría malhumorada y sin ínfulas según la cual la opinión Equivocada y Unánime (histórica) puede proceder de una mala lectura, pero nunca debe derivar de la omisión de esa lectura. Preguntas pertinentes a todas las épocas: ¿Se reseñan libros que no se han leído? ¿Se escribe lo que de ninguna manera se opina? ¿Decimos que entendemos lo que no entendemos? Jack Green da los nombres completos de los críticos que él piensa que merecen ser despedidos por no haber hecho su trabajo. Y hay constancia de que consiguió la expulsión de algún firmante con su libelo demoledor. La calidad de su prosa agresiva llevó a más de uno a pensar que detrás de este pseudónimo se escondía el mismo Gaddis defendiendo su novela, o (lo que para otros muchos sería lo mismo) el escritor Thomas Pynchon.