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Studienarbeit aus dem Jahr 2007 im Fachbereich Germanistik - Ältere Deutsche Literatur, Mediävistik, Note: 1,3, Universität zu Köln, Veranstaltung: Hauptseminar Prof. Göttert: Oswald von Wolkenstein, Sprache: Deutsch, Abstract: Die Verbrennung des Prager Gelehrten Jan Hus (ca. 1370-1415) auf dem Konstanzer Konzil am 6. Juli 1415 glich einem Fanal und bildete den eigentlichen Ausgangspunkt zur Verbrei-tung der hussitischen Lehre. Bereits Leopold von Ranke betont die beschleunigende Wirkung des Märtyrertods für die hussitische Bewegung: "Erst da Hus tot war, wurden seine Gedanken ledeutung zu, wovon nicht nur das Hus-Denkmal aus dem Jahr 1915 auf dem Altstädter Ring in Prag zeugt. Es verwundert daher nicht, dass sowohl die Aufsehen erregenden Vorgänge auf dem Konstanzer Konzil als auch die politischen Entwicklungen in der Folgezeit zum Gegenstand von Chroniken, Stichen und Schlachtgemälden, musikalischen Werken und politischer Lyrik erhoben wurden. Aus dem Jahr 1433 ist z. B. ein achtzehn Strophen umfassendes Volkslied Vom Hussitenkrieg ein Gesang überliefert. Martin Luther, der mehr als hundert Jahre nach den Konstanzer Er-eignissen seine Lehre entwickelte, bekannte sich zu der Inspiration, die er durch den böhmi-schen Reformator erfahren hatte. Auch musikalisch wurden die Auswirkungen der hussiti-schen Bewegung rezipiert: Franz Liszt und Antonin Dvořak vertonten 1840 und 1883, mehr als vierhundert Jahre nach dem Tode Hus' "Hussitenlieder". Oswald von Wolkenstein (um 1376-1445) verarbeitete wesentlich zeitnäher in dem ungewöhnlichen Lied Ich hab gehört durch mangen granns, dem so genannten Hussitenlied, die politischen Ereignisse um den böhmischen Reformator und die Folgen, die sich aus dessen Lehre ergaben. Der Verfasser bezieht mit dem Lied eindeutig gegen die hussitische Bewegung Stellung, - er entwickelt gar einen "fanatischen Hass auf diese bürgerlich-bäuerlichen Aufrührer und Ketzer." Die politische Stoßrichtung des Liedes kommt bereits durch die Verwendu