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Die Menschheit im Vernichtungsrausch: ein Panorama des Schreckens, ein literarisches Fanal, Mahnmal und Monument. Einem »Marstheater« hat Karl Kraus seine Weltkriegstragödie zugedacht - weil sie mit ihren über 200 Szenen nicht nur im Umfang über jede menschliche Vorstellung hinausgeht. Die Tragödie findet hier nicht nur auf dem Theater statt, sie ist eine Katastrophe von apokalyptischen Dimensionen. Der Krieg, gegen den Karl Kraus mit satirischem Furor und moralischer Beschämung Krieg geführt hat, endet hier nicht mit einem Frieden, denn: »Er hat sich nicht an der Oberfläche des Lebens abgespielt, sondern im Leben selbst gewütet. Die Front ist ins Hinterland hineingewachsen. Sie wird dort bleiben.« Und Kraus spürt ihrem Verlauf nach, in der Presse wie im Militärkommando, im Café wie am Schlachtfeld, und gestaltet aus Erfundenem wie Gefundenem ein großes Panorama des Schreckens.