Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Als Manuel Forcano seinen Gedichtband »El tren de Bagdad - Der Zug nach Bagdad« schrieb, dachte er nicht an Zugattentate und nicht an eine bombardierte Stadt: »Es ist gelogen, dass es in der Wüste nicht regnet«, sagt der Dichter, »und es ist gelogen, wenn Bagdad eine Brutstätte der Gewalt und Terroranschläge genannt wird. Genauso findet man dort all die Wonnen, die aus dem Orient einen Idealort gemacht haben.« Und Forcano kennt die Orte und Kulturen des nahen Ostens aus eigener Anschauung, abseits der Schlagzeilen und Klischees. Aber seine Gedichte sind keine Reportagen und keine Reiseberichte, sondern Erinnerungsprotokolle einer Sehnsucht, in der der Traumort Orient, seine Geschichte und Monumente und die sinnliche Attraktion, die von seinen Menschen ausgeht, miteinander verschmelzen. »Es ist ein großes Buch mit einem einzigen Gedicht, das von einer Reise zum Begehren, zur Hoffnung, zur Illusion und zur Liebe spricht«, sagt der Dichter Francesc Garriga über das Werk.