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Un brillante y polémico ensayo sobre el culto a la memoria histórica, o sobre como la Historia, a veces, causa más daño que el bien que persigue. «Los que no pueden recordar el pasado están condenados a repetirlo». Esta célebre frase de George Santayana podría ilustrar una de las ideas más convencionales respecto a la memoria histórica. Actualmente existe el consenso explícito y casi absoluto de que lo moralmente correcto es recordar. ¿Por qué somos tan tajantes en cuestiones tan delicadas como esta? En esta candente y polémica obra el heterodoxo intelectual David Rieff revisita la cuestión de la memoria histórica y presenta un conmovedor alegato contra nuestra pasión por el pasado. Analizando varios de los conflictos más definitorios de la historia reciente -el conflicto de Irlanda del Norte, la Guerra Civil española, la Guerra de los Balcanes, el Holocausto y el 11S- Rieff concluye que la memoria colectiva no es tanto un imperativo moral como una opción. La memoria histórica puede ser tóxica y, a veces, lo correcto es olvidar. Brillante y contundente, este lúcido ensayo es un tratado de filosofía moral indispensable sobre los usos y abusos de la historia colectiva. Reseñas:«Este polémico libro es una lectura esencial para cualquiera que se interese por la ética, la política y la situación contemporánea del hombre.»John Gray «Un libro breve y contundente.»Fernando Savater