
« Comment lui dire que je ne sais pas, que le
savoir-savoir engourdit, que je crains le
savoir, les schémas et les explications, que
l'homme ne dispose pas d'un corps pour
imaginer l'univers, les fins ultimes et les
raisons premières, mais qu'il est là,
cheminant sur le il y a qu'il y a ?... Vergílio,
nous ne sommes pas des compagnons de
savoir, mais des marcheurs. La beauté nous
émeut. Nous ne voulons pas être anéantis.
Nous voulons voir. Totalement. Irrémédiablement. Et sans retour. N'est-ce pas là
notre tâche ? »
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