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These are not stories of romance - they are stories of raw, unfiltered desire. Manuel García writes of real men: virile, commanding, often rough, sometimes silent. Men whose glances carry weight, whose bodies demand to be touched, and whose presence alone can ignite a fire. Here, lust is born in confrontation, in challenge, in the brush of skin against skin - and it explodes into encounters of power, need, and surrender.The title story, Enslaved my Employer's Son, takes us to a small-town grocery store where a twenty-year-old clerk finds himself under the authority of Eduardo - the owner's proud, arrogant son. What begins as a cascade of petty orders soon becomes something darker, more consuming. In the back room, where no eyes can see, the boy discovers that obedience has a price, and submission, its own twisted reward."Eduardo leaned back in the chair, legs spread, jeans pulled tight across the bulge that had haunted my nights. His eyes burned with a cruel kind of amusement as he whispered, 'You want money? Then show me how much you want it.' My mouth went dry, my hands trembled - but I obeyed. I always obeyed."This collection is a testament to virile eroticism: bodies colliding, sweat mixing, words reduced to groans and imperatives. It does not soften or apologize. It strips men bare - in every sense.Once you open these pages, you'll understand: some chains are chosen. And some, once fastened, you'll never want removed.