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Licht fällt auf gelben Raps, Flügelschatten mustern. Momenten der Ewigkeit in Augenblicken und in den Rissen vom Dasein spürt dieser Lyrikband nach. Was trägt und bindet uns? Ideen und Gefühle tauchen auf, verklebt wie eine Endmoräne. Besprochen wird das karge Holz der Welt, die unlösbaren Felder. Künstliche Intelligenz erobert sich wie eine vierte Kränkung Terrain, mitunter nimmt sie die Wahrheit nicht so genau. Im syrischen Mondlicht werden Böden und Fugen blutverklebt hinterlassen. Raketenwerfer sind versteckt in Scheunen, Lügentrolle poltern auf den Straßen. Kurzgedichte folgen ihrem freien Lauf aus Momenten. Kaffee, Kuchen und Zeitung entfalten das Mögliche und hinterlassen Rätsel im Caféhaus. Im dritten Abschnitt des Bandes sind vermehrt die Tage der Liebe im Blickfeld, helles Licht, weiche Lippen. Die vorliegenden Gedichte orten die eigene Existenz und die Fäden zur Welt, die halten und leiten. Ein Pharisäer erlöst uns.