Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Männer werden erst durch Frauen erwachsen, einigermaßen jedenfalls und wenn sie die Frauen lieben. Henry-Martin Klemt hat das sein Leben lang getan. Der 1960 in Berlin geborene Dichter ist zweimal der großen Liebe begegnet. Aber nicht nur ihnen wendet sich Klemt in seinem neunten Gedichtband "Mich ritt die schöne Kellnerin" zu. In einem einzigartigen Zyklus von 20 Sonetten beschreibt er Begegnungen voller Leidenschaft, Inspiration und Tiefe, die einen Augenblick umfassen oder ein ganzes Leben. Glück und Erfüllung, Schmerz und Trauer fließen ineinander. Freude an der Körperlichkeit prägt die Bilderwelt des Dichters, für den nicht Gewalt und Härte, sondern Kraft und Weichheit Ausdruck menschlicher Stärke sind. Philosophische Verse wechseln mit ernsten und heiteren Liedern. Klemt vergewissert sich in der Liebe seiner selbst, zeichnet in seinen zärtlichen, manchmal skurrilen Balladen Porträts, die über die Beziehung zwischen zwei - oder mehr - Menschen hinausgehen, und führt nebenher ein Stück durch die Zeit und durch die Welt. Wenn es Gott gibt, ist sie eine Frau, schreibt Klemt, und lädt zur Liebe ein aus Erfahrung: Das Hohelied ist nie umsonst gesungen, und wer es hört, der geht nicht, sondern tanzt...