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C’est en passant devant un kiosque à journaux du boulevard Pierre-Seymard, à Nice, qu’Ondine apprend le suicide de sa mère, la grande écrivaine Zita Chalitzine. On l’a retrouvée dans une voiture enveloppée dans un magnifique manteau de fourrure blanc. Zita, qui avait passé sa vie à faire scandale, ne se départ pas de sa réputation. Et juste avant de disparaître, elle faisait encore parler d’elle : elle n’aurait été qu’un prête-nom aux livres qui ont fait son succès. Ondine ne veut rien savoir de sa génitrice qui n’a été qu’une pâle imitation de ce que devrait être une mère et qui n’a jamais voulu lui dire qui était son père. Et pourtant, en rangeant les affaires de Zita, après l’enterrement, Ondine découvre le dernier livre de sa mère, non publié, son autobiographie. Le lecteur entre alors de plein fouet dans la vie extraordinaire de Zita, petite fille pauvre, élevée dans la loge de son énorme mère, Madame Lourdes. Devenue la protégée de la famille propriétaire de l’immeuble dans lequel elle vit, elle découvre la haute société, la vie facile de ceux qui ont les moyens, la culture, la finesse. Après son bac, elle gagne son indépendance en devenant une des filles de Madame Claude et par la même occasion la maîtresse du grand auteur Romain Kiev. Coqueluche du tout-Paris des années 1970, elle illustre ce temps où tout était possible. Les fêtes, les drogues, Yves Saint-Laurent, les belles voitures, on suit Zita dans un tourbillon d’avant crise. Mais aussi dans sa chute, dans sa déchéance. Lorsque l’on est monté si haut, on ne peut que redescendre très bas.