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François Nourissier, le grand prélat des lettres ? " L'éminence grise " de la vie littéraire française des années 1970-2000 ? La " quintessence " du monde lettré parisien ? L'homme qui tirait les ficelles des prix littéraires en siégeant à l'Académie Goncourt depuis 1977 ? Telle est sans doute l'image dominante qui reste de l'écrivain décédé en 2011. Mais qu'advient-il de son œuvre, dissimulée au fil des ans derrière ce profil d'un homme de pouvoir ? Peu de choses, hélas ! Ce maître de la confession désabusée, ce peintre des difficultés existentielles, est d'ores et déjà injustement négligé. Un écrivain doit mettre sa vérité dans ses mots et ses mots dans sa vie : cette grande leçon, défendue par Pierre Jean Jouve, fut largement entendue par François Nourissier, qui donna à l'autofiction – aujourd'hui triomphante – ses lettres de noblesse. François Chaubet, en biographe lucide et néanmoins sentimental, replace l'œuvre diverse de Nourissier sur la plus haute des marches ; une " œuvre intense et fine, royale et confidentielle, impudique et maîtrisée, ironique et indulgente, où les vérités les plus personnelles tirées de l'ombre s'offrent à une mince mais dure clarté "