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»Stauffer verwebt die Schilderung vonErlebtem und Imaginiertem geschickt -und findet damit eine poetische Sprachefür die seltsamen Gefühlszustände währenddes Lockdowns.« Die Presse
Nur scheinbar folgen die zwischen Realität und Traum oszillierenden Aufzeichnungen ihrer äußeren Chronologie, beginnend im November 2020 in Wien, sogleich nämlich emanzipiert sich der Text, führt zu einer tieferen Ebene in ein fantastisches Uhrwerk, dessen Zeiger stillstehen: Wir folgen der Erzählerin auf Spaziergänge im menschenleeren Prater und flanieren durch die nächtliche, gesperrte Stadt, genaue Beobachtungen wechseln sich ab mit kleinen scharfen Sequenzen und lyrischen Passagen. In welchem Paradies lebten wir - aus heutiger Perspektive betrachtet - und was wird im Sommer sein?
»Verena Stauffer findet stimmungsvolle Worte für einen Ausnahmeszustand. Es ist ein Buch voller subtiler und stiller Schönheit, voller Wortpoesie und Wortklang; und außerdem äußerst abwechslungsreich.« Karoline Pilcz, Buchkultur
»Die niederösterreichische Schriftstellerin hat ein realistisches Gerüst gebaut. Auf dem steht sie ab November 2020 und stellt fest, dass die Pandemie Fehler in der Gesellschaft offenbart. Dabei wechselt sie ins Surreale.Stauffers oft lyrischer Ton sorgt dafür, dass man nun den Schnee hören kann und die Engel über dem Wienfluss sieht. Trotz (wegen) der Fantasien wird unsere Zeit eingefangen, und man fürchtet, dass nachher keine neue Welt entsteht, sondern die alte zurückkehrt.« Peter Pisa, Kurier