Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Las obras que integran esta publicación (Homenaje a los malditos, Los que ríen los últimos, Futuros difuntos) siguen el legado dramático de La Zaranda, pero ante todo, siguen el camino de la convicción del grupo y del autor en torno al eterno diálogo que entabla el ser con su alma, siempre en frente de la vida y la muerte a las que rinde homenaje, a las que busca en la tristeza del camino, a las que entierra en el manicomio de la sinrazón. Eusebio hurga en estas tres obras sobre ese vacío existencial, tanto en el coro que le rinde Homenaje a los Malditos, en los trashumantes payasos que allanan la tristeza del camino en Los que ríen los últimos, como en los desahuciados de Futuros difuntos. El lector se ve comprometido en insalvables afanes metafísicos porque tiene enfrente una dramática que propone una reflexión acerca de los verdaderos problemas del hombre: la muerte, la angustia, el escepticismo, la fe, el olvido. Mucho del teatro que se hace hoy ha dejado de lado esta dimensión existencial y el que acude a ella, las más de las veces termina trivializándolo. Lejos de cualquier concesión de entretenimiento está la dramática zarandiana. Por el contrario, un aliento trágico se ofrece como signo sobrecogedor de estos textos: cuando aparece un atisbo de felicidad en estos seres; cuando surge el humor que promete anular la tragedia; cuando el final se precipita para aliviar el dolor, es justamente cuando el destino oscurece todas las salidas y ahoga, hasta el límite de la esperanza, la condición de existir.