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Loin du théâtre des opérations de la Grande Guerre (fronts de l’Est et du Nord de l’Hexagone, front d’Orient), les Alpes-Maritimes et la principauté de Monaco ont fortement contribué au soin des blessés, malades ou convalescents militaires, par l’aménagement de bâtiments imposants
– notamment de grands hôtels et villas – transformés en hôpitaux temporaires. On en compte près de 150 dans les Alpes-Maritimes. Plus de 21 500 lits y sont organisés.
Les villes de la Côte d’Azur, la principauté de Monaco, les Alliés (Anglais, Américains, Russes, Belges, Serbes…) qui y vivent contribuent à établir, voire à financer, des hôpitaux, dans un esprit de compassion pour des hommes souffrants.
Gérés par le ministère de la Guerre, la Croix-Rouge, les villes, des particuliers, voire des nations alliées, les hôpitaux temporaires dans les Alpes-Maritimes et à Monaco sont un sujet largement inédit. Les sources directes (fonds des hôpitaux) ont le plus souvent disparu. C’est à travers des sources indirectes (archives nationales civiles et militaires, fonds de la préfecture, du conseil général, des communes, fonds privés, presse) qu’on peut découvrir cette importante page de l’Histoire et du territoire.
Les premiers hôpitaux sont aménagés en août 1914. Ils accueillent des blessés ou malades dès le mois de septembre. Le dernier hôpital temporaire en activité ferme ses portes en 1923. Entre-temps, on peut estimer à 178 000 au moins le nombre de soldats de France métropolitaine, des colonies et des nations alliées qui ont été soignés dans les Alpes-Maritimes et à Monaco.