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Maître incontesté du néoclassicisme, Jacques-Louis David (1748-1825) continue deux siècles après sa mort d’impressionner les visiteurs du Louvre par ses toiles magistrales, en particulier l’Enlèvement des Sabines et Léonidas aux Thermopyles. D’abord disciple du peintre de cour François Boucher, il refuse très tôt de servir une académie qu’il juge empesée, pour s’engager dans des compositions radicales. Républicain intransigeant, il esquisse le Serment du Jeu de Paume et prononce des discours enflammés à la tribune. Après avoir été élu président à la Convention au début de l’année 1794, il parvient à échapper à l’échafaud en Thermidor et se voit enfermé à deux reprises. Sa rencontre avec Bonaparte au cours de la campagne d’Italie l’engage à servir le nouvel homme fort, pour lequel il réalise ses plus grands chefs-d’œuvre – Passage du Grand Saint-Bernard, Sacre de Napoléon, Distribution des Aigles –, accompagnés d’une importante série de portraits officiels. Contemporain d’Olympe de Gouges ou du chimiste Berthollet, aîné de vingt et un ans de Napoléon, David aura marqué le tournant du siècle. La fin de sa vie, en exil à Bruxelles, n’aura pas altéré son prestige auprès d’une génération de disciples qui prolongeront son enseignement avec conviction.