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Kunst und Ökonomie stellen auf den ersten Blick einen unauflöslichen Widerspruch dar. Entgegen dieser Sichtweise versucht dieser Beitrag zu zeigen, dass es in der Literaturgeschichte - zumindest punktuell - versöhnende Tendenzen zwischen Kunst und Wirtschaft gegeben hat. So bildet der in den Jahren 1854/55 entstandene Roman von Gottfried Keller Der grüne Heinrich ein Paradeexempel eines literarischen Textes, der sich - anders als in der Forschung bisher gerne angenommen - der Idee einer harmonischen Einheit von Kunst und Ökonomie verpflichtet sieht. Diese Arbeit gibt sich dabei mit einer Textuntersuchung nicht zufrieden. Um der Komplexität der Thematik gerecht zu werden, wird der Leser im ersten Schritt an die sozioökonomischen Theorien des 19. Jahrhunderts herangeführt, insbesondere an jene Theorien, welche das Wechselverhältnis von Kunst und Wirtschaft zum Thema haben. Dabei wird deutlich: Erst mit Hilfe solcher Ökonomen wie Gustav Schmoller, Karl Knies oder Albert E. F. Schäffle eröffnet sich im zweiten Schritt der Zugang zur Kunst der Ökonomie in Kellers Roman.