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Schon in den grundlegenden anthropologischen Aitiologien wie dem Prometheus- oder dem Sündenfallmythos wird die Kunstfertigkeit des Menschen als sein einzigartiges Vermögen gehandelt. Dies verschränkt sich mit der Idee, dass ihm umgekehrt ein fundamentaler Mangel, ein Gebrechen anhafte. Das vorliegende Buch interessiert sich für die Zuspitzung dieser Denkfigur im Zusammenhang von Kunst und Gebrechen, dabei für Gebrechen, die ursächlich mit dem Schaffen von Künstlerinnen und Künstlern in Verbindung stehen oder vielmehr und eher: mit ihnen in Verbindung gebracht werden. Hinter dem Gedanken, dass aus dem Gebrechen die Kunst komme, das Gebrechen die Kunst beeinflusse, stehen wirkungsmächtige, meist bipolare Denkmuster: so zum einen die dualistische Vorstellung von Körper und ingenium, die zueinander in einem Verhältnis der Divergenz oder der Konvergenz stehen können; zum anderen die Verrechnungslogiken, die zwischen Defizit und Profit vermitteln. Wenn sie mit ethischen Parametern operieren, dann zielen sie auf Ausgleich: Mit jedem Defizit muss ein Profit, vielleicht sogar ursächlich verbunden sein, das Soll des Gebrechens neutralisiert sich im Haben der Kunst.Das Buch lotet die unterschiedlichen Konstellationen aus, in denen sich Kunst und Gebrechen verschränken, von der Antike bis in die Gegenwart, in den Bereichen von Dichtung, Musik, Bildender Kunst und Performancekunst.
Mit Beiträgen von:Peter Deutschmann, Daniel Ehrmann, Jana Graul, Nelly Janotka, Marlen Mairhofer, Max Pommer, Céline Roussel, Romana Sammern, Ronny F. Schulz und Dorothea Weber