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L’espace entre la base et le sommet n’est pas aussi ascensionnel qu’on pourrait le croire dans ce sixième opus de François Guerrette. Les poèmes y érigent l’histoire d’une disparition portée par « l’interminable jaillissement de la noirceur ». D’une refondation de l’être, avec pour matériaux l’incendie intérieur, ses origines, ses symptômes, ses ravages. « Brûler est un voyage intime » auquel le poète nous convie sans ménagement, explorant les racines de la soif tout autant que le feu qui l’aura animé, puis consumé de mille manières. Partout, cependant, flotte la tendresse des disparu·es, le bleu d’avril et les ronronnements d’un chat, un « colosse sur qui ressuscite la douceur ». « Entre l’enfance et Hochelaga », la base et le sommet se resserrent, s’entremêlent, on peut toucher le fond en prenant de l’altitude ou trouver de la lumière au plus creux de ce qui arrive.