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Ce texte inédit de Jean Grenier – le maître d’Albert Camus –, est une longue lettre d’explication destinée à Jean Paulhan. Dans les quatre parties qui composent cette dernière Page, Jean Grenier, sous l’apparente fluidité d’une pensée autobiographique, analyse les termes de sa philosophie à la lumière de son rapport au monde, au mal et au divin : la vraie connaissance n’est pas de l’ordre du rationnel, elle n’est pas non plus dans l’adhésion à une foi, elle s’inscrit dans une disponibilité de l’être, une « passivité active » qui s’enracine dans la sensation, le sentiment, la palpitation du vivant… « Mon état est celui d’une balance », écrit-il. « C’est définir là, analyse dans sa préface Jean Clair, qui fut son élève, une disposition de l’esprit et du corps, mais aussi un style et un genre. »