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Après avoir analysé l’idéologie de la postmodernité, j’en viens à l’examen de l’état de notre École publique. Ce n’est pas une question parmi d’autres, car l’Education nationale est ce qui est censé assurer l’instruction, et, donc, d’assurer le civisme des jeunes. La situation est, ici, très préoccupante : l’École est, depuis des années, sous la coupe des « pédagogistes », ces représentants de la postmodernité qui sont bien décidés à en finir avec la recherche de l’excellence que nous avons connue dans le passé. Ces « pédagogistes », disciples de Freinet et de Montessori, détestent ceux que l’on nomme les bons élèves. Ce sont des égalitaristes forcenés, que la baisse du niveau de l’enseignement ne gêne pas du tout et des ennemis farouches du cours magistral, cet instrument pédagogique qui a permis, jusqu’à leurs « réformes » catastrophiques, à des professeurs merveilleux de former des jeunes du même niveau d’excellence qu’eux. Depuis 1986 en particulier, notre École, malmenée par eux, ne cesse de s’enfoncer dans le marais de la médiocrité. La dernière réforme en date a allié de bonnes décisions à des mesures qui vont précipiter la chute. Il est grand temps de réagir. Le premier tome de cet essai sonnait l’alarme pour ce qui est de la société postmoderne en général, ce second tome le fait pour le fondement même de cette société, qui est sa capacité à produire des citoyens responsables par une instruction publique digne de ce nom.